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Pour cette édition 2023 du salon Retromobile qui se tient au parc des expositions de la porte de Versailles à Paris du 1er au 5 février, Renault a vu les choses en grand.
Le stand met tout d’abord en avant le trentenaire de la Renault Twingo. Des exemplaires plus neufs que neufs et des versions d’exceptions composent cette rétrospective.
Une Twingo quasi royale…
La Renault Twingo remaniée par le carrossier français André Lecoq fut exposée pour la première fois à Retromobile en 1995. Cette Twingo à la robe laquée de noir avec un motif jaune sur l’avant des flancs s’inspire des Bugatti bicolore de la grande époque. A bord, les sièges sont nettement plus cossus que ceux d’origine et tendus d’un cuir surpiqué à l’instar de la jante du volant et du soufflet du levier de vitesses.
Un plaquage en fausse ronce de noyer finalise l’ensemble sur la console centrale tandis qu’une plaque numérotée en laiton indique le nom du propriétaire. Cette édition huppée de la Renault Twingo a été produite à moins de 50 unités.
Une Twingo Williams ?
Dans un tout autre genre sous sa livrée bleue et blanche qui évoque les Renault Gordini d’antan, cette Twingo de course est une étude d’une version « Coupe ». Plusieurs mécaniques furent envisagées, un 1.6 de 135 ch ainsi qu’un bloc 2.0 de 150 ch, (sans doute celui de la Renault Clio Williams ? d’autant que le dessin des jantes nous met sur la piste…).
C’est d’ailleurs cette variante la plus puissante qui est logée sous le capot de l’auto exposée. Initialement cette Twingo boostée devait prendre le relais des Renault Clio Coupe, l’histoire en a décidé autrement.
Une Twingo low-rider
Pour célébrer de manière originale les trente ans de la Twingo, la marque a concocté cette variante inspirée par les low-riders californiens. Posée au sol, la citadine est chaussée de jantes en nid d’abeille au voile doré et de pneumatiques à flanc blancs. L’habitacle est garni de cuir mais le plus important se passe sous le capot avec l’arrivée d’une motorisation électrique. En effet, l’auto a été rétrofitée.
Aux côtés de la Twingo dans tous ses états, la Renault 4 Suite n°4, une Renault 5 d’époque elle aussi électrifiée et la charismatique R5 Turbo 3E attirent le chaland.
Mais ce qui intrigue le plus, c’est le hot-rod sur la base d’une Renault type 6CV MT de 1924 animée par l’électromoteur des futures R5 et 4L. Ce bolide épuré rend hommage aux modèles bâtis dans les années 1920 et 1930 pour battre des records de vitesse, on pense notamment à la Renault 40 CV.
Et aussi des Renault à vendre …
En marge du stand Renault, nous avons également aperçu, sur le stand de la maison d’enchères Artcurial, une belle R5 Turbo bleu Olympe qui est le second exemplaire produit mais aussi la soucoupe volante Renault Reinastella concept qui fut exposée d’avril à juin 1992 à l’entrée du parc qui se nommait à l’époque Eurodisneyland Paris.
La R5 qui n’a que 22 000 km au compteur est estimée entre 130 000 et 140 000 € et la soucoupe, dont le kilométrage – exprimé en années lumière ? – ne nous a pas été communiqué, avec une estimation entre 2 000 et 4 000 €.
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